Dans les pays de l’Union européenne, on observe une nette augmentation de la part des emplois les plus qualifiés mais une croissance faible de celle des moins qualifiés. La baisse des effectifs situés au milieu de l’échelle des qualifications reste limitée avant 2008, mais s’est accentuée depuis la crise.
Ce qui fait l’intérêt de l’énergie, ce n’est pas seulement d’en avoir : c’est d’en avoir quand on en a besoin. Et donc d’en avoir en réserve, prête à l’emploi. L’exploitation à grande échelle des énergies renouvelables et des énergies « nucléaires » nécessite la mise au point de technologies appropriées capables de stocker et de transporter l’énergie. Nombre de solutions pour l’avenir énergétique se trouve dans les progrès enregistrés dans le domaine des piles, des batteries, des micro et mini-accumulateurs, des condensateurs, des micro-dispositifs de récupération d’énergie. Tel est l’un des grands enjeux à l’heure de la transition énergétique. Ebauche d’un Inventaire
Durant les dernières décennies notre système de santé a été amené à se transformer radicalement sous la poussée des découvertes de l’industrie pharmaceutique. Les progrès de la biotechnologie qui ont facilité les séquençages, ceux de l’exploitation des données, ont accompagnés la découverte de nouvelles molécules. Enfin, le mariage entre les industries pharmaceutiques et les grands opérateurs informatiques du Big Data aura donné une impulsion toute particulière à cette mutation qui consiste à maintenir « le capital-santé de l’individu plutôt qu’à le soigner lorsqu’il est malade ». Tous ces acteurs ont compris et contribué à la naissance d’un «business» très contemporain : vous empêcher de tomber malade !
En décembre 2015, la France accueille à Paris la conférence des Nations Unies sur le climat, dite « COP 21 ». Cet événement est capital car la planète vit désormais à crédit sur le compte de l’environnement. Et les conséquences prévisibles sont incommensurables. Les associations se mobilisent pour exiger des mesures solides
De temps à autre, il m’arrive de citer cette phrase du poète Paul Valéry – « le temps du monde fini commence » (Regards sur le monde actuel. Stock. 1931). Sa pertinence m’aide dans mes tentatives optimistes de chercher dans l’inventaire des innovations sociales et dans le corpus de la science, des issues à l’inquiétante dérive de notre monde.