Sciences et société
bio-éthique, industrie, innovation technologique, nanotechnologies, politiques de santé, recherche, santé, sciences du vivant, sociologie, Technologies,
La société de prospective « FastFuture» a établi après enquête auprès de ses correspondants quelque 100 items qui vont être sur le devant de la scène et objets de débats, au niveau mondial jusqu’à fin 2012 dans les domaines politique, social, économique, environnemental, technologique…
Pour porter son attention vers le monde, il faut « éteindre » momentanément une partie de soi, et c’est précisément ce que fait le cerveau. Mais pourquoi « éteindre » des neurones au moment où nous en avons le plus besoin ?
Une enquête Ipsos* sur les rapports que les Français entretiennent à la science, réalisée pour le magazine La Recherche et pour le journal Le Monde, montre que les Français font peu confiance aux scientifiques mais ils conservent un intérêt marqué pour la connaissance scientifique.
L’utilisation des réseaux sociaux pour participer à la vie démocratique pose cependant aussi une question du point de vue des droits de l’homme, estime le Commissaire aux droits de l’homme du Conseil de l’Europe, Thomas Hammarberg*
Une découverte qui bouscule les théories. Des vestiges retrouvés à proximité du cercle polaire arctique et caractéristiques de la culture moustérienne(1), viennent d’être datés d’il y a plus de 28 500 ans, soit plus de 8 000 ans après la disparition théorique de l’Homme de Néandertal.
Nombreux sont les observateurs à juger que le débat science/société doit aujourd’hui mieux définir ses règles et créer les conditions d’un dialogue qui permette d’évoluer vers des consensus soutenables.
Les préoccupations liées au nucléaire, la fin du pétrole, les pollutions du charbon, nous interrogent sur l’avenir énergétique. Au-delà des énergies renouvelables (solaire, éolien, énergie marine..) dont Place Publique rend compte régulièrement, d’autres énergies plus massives comme l’uranium, l’hydrogène, le thorium, l’hélium, se présentent comme des énergies du futur. Souvent décriées, elles posent bien des questions qui intéressent le débat public.
Etat des lieux.
Telle une plante qui ne peut se développer pleinement faute d’un terrain propice, l’économie numérique ne peut se déployer en France que dans la mesure où nous serons capables de laisser tomber certaines de nos préventions vis à vis du progrès technologie et de la science en général.
Des chercheurs ouvrent de nouvelles pistes pour comprendre comment augmenter la durée de vie en bonne santé et à réduire l’incidence des maladies du vieillissement (cancer, neuro-dégéneration, etc…).
P-H. Gouyon est un chercheur qui s’implique dans les débats science/société. C’est autour de la question des OGM et de la biodiversité que Pierre-Henri Gouyon a le plus mouillé sa chemise.
Les équipes ou les groupes ont une forme d’intelligence collective, et celle-ci pourrait être mesurée, selon une étude menée aux Etats-Unis par la Carnegie-Mellon University, au sein du MIT.
Lorsque les lycéens expérimentent les sciences comme des chercheurs…
Retour sur 6 années d’un programme original conçu par une équipe de chercheurs à destination de lycéens de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Des chercheurs ont découvert que la levure avait un point commun avec l’homme. Ils utilisent tous deux le même processus moléculaire pour « assurer l’intégrité de leur patrimoine génétique » pendant la reproduction ». Une découverte qui permettra de comprendre les nombreux cas d’infertilité masculine liés au mauvais déroulement de ce processus lors de la spermatogénèse.
Une étude menée en commun par Mohamed Harfi, du Centre d’Analyse stratégique, et Laudeline Auriol, de l’OCDE, met en évidence la difficile situation des docteurs en sciences français dans la recherche d’emploi
« A partir de 2030, nous serons nettement plus « non biologiques » que « biologiques ». Les performances en capacité, vitesse, souplesse, pourraient être accrues dans une proportion de 10puissance9 ».
Selon un nouveau rapport de l’Eurobaromètre publié aujourd’hui, près de 80 % des Européens déclarent s’intéresser aux découvertes scientifiques et aux évolutions technologiques alors que 65 % disent s’intéresser au sport.
La Commission européenne lance Scientix, un nouveau portail web destiné aux enseignants, aux chercheurs, aux décideurs politiques, aux acteurs locaux, aux parents et à toute personne intéressée par l’enseignement des sciences.
Le domaine le plus préoccupant reste de loin (60%) les déséquilibres Nord/Sud, les problèmes d’eaux et d’alimentation dans les pays sous développés. C’est ce que révèle un sondage sur les « peurs du progrès ou progrès de la peur »*. Le changement climatique et la destruction de la diversité n’arrivent qu’en second rang, avec chacun 40% des réponses.
Des initiatives se développent pour inventer une pédagogie adaptée afin que les débats sur notre avenir se déroulent dans la construction d’un dialogue serein, la tolérance des points de vue et l’évaluation continue des problèmes posés. Un exemple : le Parlement du futur.
Le gouvernement annonce la réduction des crédits de fonctionnements de la recherche et celle de ses emplois, contredisant ses engagements en 2009.