Organisé par le Club des Confluences
La mise en ligne du magazine « spécial conférence de rédaction ouverte » est toujours un évènement. D’abord, parce que systématiquement le rassemblement de personnes diverses, réunies par leur seul intérêt porté […]
Déjà enveloppée de son vivant dans son linceul, elle est à genoux pour accentuer sa soumission à l’homme. Exécutée, au nom de la charria – stricte application des lois coraniques […]
Combien d’associations fleurissent chaque jour dans nos quartiers, dans nos villages ? Combien de ces projets associatifs qui semblent des PACS tellement le collectif se résume trop souvent à deux […]
Plus de 1500 enfants ont participé au « forum des enfants » organisé dans le cadre du Forum social européen, en novembre dernier. Aujourd’hui, le FSM de Mumbai accueille un « village des jeunes et des enfants ». L’idée que les plus jeunes citoyens doivent participer à l’effort général pour imaginer d’autres mondes possibles commence à se généraliser…
Pourquoi, aujourd’hui en France, doit on penser « commerce équitable » ? Pourquoi devrions nous payer notre café un peu plus cher, certes pas beaucoup plus cher, mais un peu plus cher quand même ! Pourquoi devrions nous nous intéresser à ces étrangers qui vivent (ou survivent) loin de nos yeux ?
Apprendre à dialoguer avec un voisin qui vote Front national… C’est l’ambition de l’atelier civique d’argumentation, unique en son genre, initié par Philippe Breton (1) en 2002, à Strasbourg, à l’issue du deuxième tour des Présidentielles et du score inquiétant réalisé par le parti de Jean-Marie Le Pen. Il ne faut pas stigmatiser les électeurs extrémistes, estime le chercheur, mais plutôt renouer le fil du dialogue.
Dans son livre Corps et âme, proposé par Graines de changement (1) aux éditions Village mondial, Anita Roddick retrace l’histoire de The body shop, enseigne britannique de produits cosmétiques. Véritable succès commercial (2), The body shop incarne également une vision humaniste de l’entreprise. Entretien avec Anita Roddick, sa fondatrice.
« Que serait la vie sans les associations ? ». Cette question, en forme de cri d’alerte, a été posée et débattue, de septembre à novembre 2003, à travers la campagne de mobilisation « coup de pouce à la vie associative », mise en œuvre par la Conférence permanente des coordinations associatives (CPCA). Après la satisfaction des 40 000 signatures de soutien revendiquées, quels sont aujourd’hui les nouveaux enjeux pour les représentants de la vie associative ?
700 000 femmes accouchent chaque année en France et 220 000 subissent une
interruption volontaire de grossesse. Reste, le droit des femmes à recourir à
l’avortement est menacé par un réseau très organisé et la loi de 2001 sur
l’avortement et la contraception n’est pas toujours appliquée. Une situation donnant lieu à des affrontements entre les pros et les antis IVG.
Arakis est le nom de l’association créée par Erick et Mariette Passard, pour devenir famille d’accueil. Aujourd’hui 8 familles et une quinzaine de jeunes, venus essentiellement d’Europe de l’Est et d’Afrique, se retrouvent dans le cadre de ce projet. Mais dans le cas des Passard, les enfants accueillis viennent se mêler aux enfants naturels et adoptifs du couple ! Rencontre avec une famille mosaïque, dotée d’une détermination contagieuse.
Salariés ou bénévoles, ils sont près d’une vingtaine à avoir assuré la préparation logistique du Forum social européen. De formation universitaire, toutes et tous ont des parcours atypiques. Aujourd’hui, ces « soutiers du FSE » ont du mal à décrocher. Au point que nombre d’entre eux se retrouvent à Mumbay pour le Forum social mondial.