=https://www.place-publique.fr/article46.html
=https://www.place-publique.fr/article24.html
Appel envoyé par RESOL – Réseau d’expertise indépendante et solidaire Afin d’appuyer la création d’une ligne budgétaire pour l’économie solidaire à Paris, plusieurs associations de ce secteur, dont RESOL, se sont mobilisées pour interpeller les autorités municipales sur cette nécessité. Vous trouverez ci-dessous la première lettre que nous avons adressé le 8 juillet dernier à […]
=https://www.place-publique.fr/sites.php3?id_rubrique=68
La fondation belge du Roi Baudouin publie sur son site Internet les études qu’elle commande et finance. Deux études ont eu pour objet les médias et leur rapport aux citoyens. Elles sont disponibles gratuitement et en intégralité sur Internet : Des médias qui font bouger . 22 expériences journalistiques favorisant la participation citoyenne Médias et […]
La revue Médias Médias est une revue trimestrielle dont le premier numéro est sorti en juin 2004. Son objectif décrit dans la base line de la revue – Lire entre les lignes – est de « décrypter l’information, visiter ses coulisses, s’interroger sur ses insuffisances et ses dérives (…), une publication qui s’applique à mieux comprendre […]
=https://www.place-publique.fr/article149.html#sommaire_2
=https://www.place-publique.fr/article16.html#sommaire_5
=https://www.place-publique.fr/mag/magspip/article.php3?id_article=178
Pour la création d’un Conseil professionnel d’éthique
et de bonnes pratiques
Peut-on imaginer et construire des médias citoyens, c’est-à-dire incitant les gens à l’action ? Sans doute faut-il commencer par réfléchir à ce qui, dans le système médiatique dominant actuel, détournent de la citoyenneté avant d’imaginer, point par point, des réponses alternatives.

Une douzaine de mômes, demandeurs d’asile en France, déracinés, participent à un atelier de cinéma à Melun, en région parisienne. Scénaristes, acteurs et réalisateurs de leur propre histoire, c’est grâce à une autre exilée, Catalina Villar, qu’ils arrivent à recoller les morceaux entre un passé douloureux et un futur en construction.

Depuis la décolonisation, nombre de migrants africains sont venus en France dans l’espoir d’améliorer leur condition de vie. Certains y parviennent alors que d’autres restent sans papiers ou vivent dans une situation de précarité professionnelle et financière. Pour ne plus avoir à subir ce type d’humiliation, des migrants tentent de retourner au pays et d’y créer une entreprise. La Fafrad (Fédération des Associations Franco-Africaines de Développement) tente de faciliter leur parcours grâce à un accompagnement individuel.

Créée en 1992, la Fédération des Associations FRanco-Africaines de Développement (FAFRAD) agit en faveur de la solidarité internationale. A travers ses actions d’information, de sensibilisation et d’accompagnement, cette association est source de dynamisme pour nombre d’associations franco-africaines et de ressortissants immigrés. Tour d’horizon d’une organisation aux multiples fonctions.

A 27 ans, Maty Badiane souhaite émigrer à Dakar, au Sénégal, pour y créer la première agence évènementielle du pays. Elle n’y a jamais vécu puisqu’elle est née à Paris, contrairement à ses parents, Sénégalais de naissance. Maty n’est ni sans papiers, ni à la marge de la société française, bien au contraire. Portrait d’une femme d’affaires en herbe.

Depuis son arrivée à Paris en 1989, Yaya Nguette a enchaîné les emplois précaires. Parfois muni d’un visa mais souvent sans papiers, il peine à envoyer de l’argent à sa famille, restée au Sénégal. Toujours en foyer, Yaya n’a qu’une idée en tête : rentrer au pays et concrétiser son projet d’élevage et de verger.