La France et les pays d’Europe sont devant des choix énergétiques majeurs : le passage d’un monde dominé par les énergies fossiles et le nucléaire vers un nouveau monde économe, préservant l’environnement et tourné vers les sources d’énergies renouvelables. On appelle ce mouvement « la transition énergétique ». Mais ce chantier phare des gouvernements d’Europe est-il partagé ?
Les dirigeants de l’Union européenne ont souligné à maintes reprises l’importance d’achever l’Espace européen de la recherche et fixé l’échéance de 2014 pour y parvenir. Dans un Rapport récent, la Commission européenne a présenté une première analyse complète de l’état d’avancement de l’Espace européen de la recherche (EER) (nom donné au futur «marché unique de la recherche»).
En l’an 2000, la communauté internationale a décidé de réduire la pauvreté dans le monde et de sauver des millions de vies. Elle a défini huit objectifs du millénaire pour le développement (OMD), à réaliser pour 2015. Ces objectifs ont trait à des questions telles que la pauvreté et la faim, l’éducation, l’égalité hommes-femmes, la santé, l’environnement, ainsi qu’à un partenariat mondial pour le développement.
Dans le cadre de la préparation de la stratégie nationale pour les dix prochaines années, le Commissariat général à la stratégie et à la prospective (CGSP) publie 5 notes d’introduction au débat. Avec ces notes, le CGSP engage un débat de fond sur les enjeux essentiels pour l’avenir de notre pays. En effet, à l’issue du séminaire gouvernemental du 19 août, le Président de la République a souhaité que l’élaboration du projet « Quelle France dans 10 ans ? » fasse l’objet d’une large consultation, associant experts, partenaires sociaux, élus, société civile et citoyens.
La deuxième Conférence environnementale pour la transition écologique s’est tenue les
20 et 21 septembre derniers, au Conseil Economique,
Social et Environnemental.
Ouverte par le président de la République, clôturée
par le Premier ministre, elle a
rassemblé les parties prenantes de la transition écologique autour de cinq tables rondes,
co-présidées par treize ministres pendant deux demi-journées.
Ces tables rondes se sont tenues dans le format du
nouveau Conseil national de la
transition écologique (CNTE), qui comprend désormais un collège de parlementaires, en
plus des autres collèges : organisations syndicales
, organisations d’employeurs,
associations représentant les collectivités locales
et associations non gouvernementales
environnementales.
Les mesures de la feuille de route 2013 sont issues
des travaux préparatoires avec les
parties prenantes et des débats menés au sein des cinq tables rondes, chacune présidée
par plusieurs ministres, assistés d’un facilitateur
.
Fruit de la diversité des échanges tout au long de
cette Conférence, cette nouvelle feuille
de route va guider le travail du Gouvernement sur ces thèmes.
Le CNTE sera régulièrement informé de la mise en œuvre de cette feuille de route et sera
étroitement associé à la préparation de la prochaine Conférence environnementale pour
la transition écologique.
Les priorités, objectifs à atteindre et méthodes proposées sont :