Face à la crise économique que nous traversons, deux attitudes s’expriment. Faire d’une part, comme si de rien n’était. Suffirait-il ainsi de «moraliser le capitalisme», de resserrer ses règles par exemple et le tour serait joué ? Ou bien, d’autre part, rentrer de plain-pied dans la transition et s’engager résolument dans une mutation profonde.