EDITO, par Yan de Kerorguen L’ombre de la dislocation « Toi qui regardes autour de toi et vois les signes, tu sauras me dire vers lequel de ces avenirs nous poussent […]
Par Bruno Tilliette Empêtrés dans une crise qui s’éternise de samedi en samedi et dont les motivations semblent évoluer au fil du temps et se muer en un […]
par Yan de Kerorguen En 1987, Edgar Morin rédigeait ces lignes : « Contrairement à l’insecte, l’Europe n’a pas le programme préalable de sa transformation, elle n’a pas de système central […]
Bruno Tilliette Je me souviens d’un entretien entre Edgar Morin et Florence Malraux, animé par Laure Adler. Le grand penseur a aujourd’hui 92 ans et la fille d’André et de […]
par Bruno Tilliette Où nous sommes-nous trompés ? Où ma génération, celle qui a grandi en même temps que l’Europe, s’est-elle trompée pour aboutir à un tel rejet […]
« Quand le Roy Pyrrhus passa en Italie, après qu’il eut reconneu l’ordonnance de l’armée que les Romains lui envoyaient au devant: « Je ne scay, dit-il, quels barbares sont ceux-ci (car les Grecs appeloyent ainsi toutes les nations estrangieres), mais la disposition de cette armée que je voy n’est aucunement barbare. » Montaigne (L.III, ch XXI, Des cannibales)
Pour réfléchir au problème dramatique qui nous concerne tous, Européens – l’afflux de migrants que les guerres chassent vers un exil involontaire -, j’ai choisi une citation de Montaigne, un compagnon que j’ai toujours plaisir à fréquenter.
par Bruno Tilliette 200 000 personnes ont fêté le passage à la nouvelle année 2019 sur les Champs-Élysées. Parmi eux, 200 gilets jaunes recensés, 0,1 %. Pourtant, le lendemain, […]