conférence européenne, organisée en partenariat avec le Conseil économique, social et environnemental français, intitulée : Quel rapport à l’Europe suite au référendum britannique? Le programme est maintenant disponible, cliquez ici. […]
Une étude « Les Français et la politique industrielle de la France » réalisée par OpinionWay pour OPEO (www.opeo-conseil.fr) et dévoilée le 9 novembre 2016, à l’occasion des Rencontres pour la Compétitivité Industrielle, mesure la perception qu’ont les Français du secteur industriel. Dans un contexte d’élections nationales qu’est ce que les Français identifient comme atouts et faiblesses de l’industrie en France ?
Confronté à la convergence de changements majeurs, victime de la baisse généralisée des taux de fréquentation et du manque de soutien des pouvoirs publics, le Spectacle Vivant manquait d’un outil pour gagner en visibilité. Voilà qui est fait avec Entrée Directe, un moteur de recherche qui vient de voir le jour.
Le très sinistre Robert Ménard, ci-devant maire de Béziers – qu’on devrait plutôt dire d’extrême dextre, même s’il vient effectivement de la gauche, comme les mauvais présages (c’est l’origine du mot « sinistre ») – a récemment fait placarder, sur les murs de sa ville, une écœurante affiche où l’on voit un groupe de personnes, d’évidente origine maghrébine ou moyen-orientale sur fond de cathédrale biterroise, avec pour légende menaçante : « Ils arrivent ! », sous-entendu « comme des envahisseurs ».
L’Union européenne a tout ce qu’il faut pour devenir une grande puissance mondiale, à l’égal des Etats-Unis et de la Chine et la création de l’Euro, à l’orée du 21ème siècle, devait constituer une nouvelle étape dans la progression de l’Union Européenne vers plus de consistance et d’efficacité au service des Européens.
Un livre émouvant vient de sortir qui témoigne d’une histoire douloureuse, celle de Nujeen Mustafa. Nujeen est une jeune fille kurde, née en Syrie, qui a passé sa vie en fauteuil roulant. A 16 ans, elle a fui son pays ravagé par la guerre. Par son histoire, elle incarne l’une des plus grandes crises humanitaires actuelles.
S’inspirant de la démarche de Georges Perec, des sympathisants de la gauche, regroupés dans le Cercle Barbara Salutati, se sont retrouvés, quatorze ans après avoir « sévi » dans « […]
En émergence depuis peu, les écosystèmes symbiotiques sont encore rares, mais en plein développement. Favorisées par les technologies du numérique et les théories du partage, les initiatives s’insèrent dans les grandes villes à New York, Montréal, («the Hub») à Bruxelles, à Londres, ou Toronto («Centre for social innovation»), à Berlin, à Bâle («Gundeldinger Feld») ou encore à Lisbonne («LX Factory»).
Un des grands problèmes auxquels sont confrontées les sociétés modernes est la confrontation entre deux modèles : celui de la préservation de l’identité des racines et celui de la poussée des identités multiculturelles. L’éthique de la raison universelle nous oblige à trouver les justes proportions entre ces deux réalités.
Un nouveau rapport d’ActionAid publié le 22 septembre 2016 montre que les femmes travaillent en moyenne quatre années de plus que les hommes au cours de leur vie, en raison de la prise en charge des tâches domestiques ainsi que des soins des enfants et des personnes âgées et malades. Les gouvernements du monde entier ne parviennent pas à agir efficacement sur les causes des inégalités qui touchent à la fois les hommes et les femmes.
A quelques semaines de la COP 22 qui vise à concrétiser engagements pris et changements à adopter par la communauté internationale et tous les acteurs de la société en matière de changements climatiques, le Conseil économique, social et environnemental (CESE) a souhaité mettre en avant un enjeu figurant désormais dans le préambule de l’Accord de Paris, celui de « justice climatique ».
Dans une tribune publiée, fin septembre, par le New-York Times, Anne Hidalgo, Maire de Paris, Bill de Blasio, Maire de New-York, et Sadiq Khan, Maire de Londres, appellent les États à faire davantage preuve « d’ouverture et de solidarité envers les réfugiés ».
Inversion, paradoxe, contrevérité, discordance, antagonisme, antonymie, renversement, quiproquo, contraste, versatilité, oxymore, ambivalence…ce vocable instable des figures du « tout et son contraire » peuple notre époque. Il trame notre langage et nos comportements, sans que nous nous en apercevions toujours. Notre nature va de volte-faces en contresens, réunir des inconciliables, au gré de nos ambivalences. La dualité en chaque homme est reconnue par toute la sociologie classique et avant elle par la philosophie, Adam Smith, Emile Durkheim, Alexis de Tocqueville ou Max Weber tout autant que par Leibniz ou Kant. Elle s’est aujourd’hui installée en profondeur dans les postures de chacun, signe de la schizophrénie ambiante.