L’Université Paris-Saclay sera le plus grand écosystème de recherche en France. Et peut-être bien d’Europe. La première rentrée universitaire vient d’être effectuée *
Avec l’accord cadre de partenariat pour développer des financements innovants dans les pays du Sud, signé entre le Crédit Coopératif et l’Agence Française de Développement, les partenaires s’engagent à coopérer sur des projets menés dans les pays en développement pour lesquels leurs compétences, actions et expertises s’avèrent être complémentaires.
Tel est le titre d’un livre publié par France Stratégie. Dans cet ouvrage, France Stratégie préconise la mise en place d’une politique volontariste afin de diviser par deux la proportion des adultes en situation d’illettrisme à l’horizon de dix ans, soit de ramener le taux de 7 % à 3,5 % de la population.
En l’espace d’une génération, la baisse du taux de mortalité infantile dans le monde a plus que doublé et 38 millions de vies supplémentaires pourront être sauvées d’ici 2030 si les progrès s’accélèrent conformément aux Objectifs de développement durable (ODD) que les dirigeants du monde s’apprêtent à adopter ce mois-ci.
Alors que l’Union Européenne a annoncé un durcissement de ses objectifs en faveur du climat, que le nombre d’accords climatiques est sans précédent et que le nombre de pays engagés pour la COP21 ne cesse de grandir (aujourd’hui 75 Etats ont remis leur copie), la question de la relation entre territoires et entreprises apparaît comme centrale pour la définition d’un schéma global de transition vers une économie bas carbone.
Dans le cadre de la 1ère Edition « Les Trophées du bien-être », l’Institut de sondage Ipsos et Les Trophées du bien-être * se sont associés dans la mise en place d’une enquête de référence permettant de dresser un panorama global des rapports complexes qu’entretiennent aujourd’hui les Français avec leur bien-être afin de comprendre où ils en sont exactement, déterminer leur état d’esprit général, voir si leur niveau de bien-être s’améliore ou se détériore.
Le « moderne » monsieur Macron, ci-devant ministre de l’Économie déclarait récemment que les 35 heures n’étaient pas un tabou. Le parti Les Républicains débat actuellement d’une possible sortie des 35 heures, pour revenir aux 39 heures hebdomadaires, voire, dixit le libéral Fillon, au cadre européen des 48 heures, s’il revenait au pouvoir. D’où leur vient donc cette obsession des « 35 heures », 15 ans après leur mise en place, à la satisfaction de la plupart des entreprises et salariés ?