Jeudi 24 mars, jour de la condamnation par le Tribunal Pénal International pour l’ex-Yougoslavie (TPIY) de Radovan Karadzic, l’ancien chef politique des Serbes de Bosnie, à 40 ans de prison pour génocide et crimes contre l’humanité, la journaliste Florence Hartmann, qui se trouvait aux côtés des associations de victimes de la guerre de Bosnie-Herzégovine, a été brutalement arrêtée par des gardes du Tribunal et écrouée dans la prison des criminels de guerre pour y exécuter une peine de prison de 7 jours.

Yan de Kerorguen A LA UNE