La hausse du niveau des compétences requises par la société civile, l’exigence accrue exprimée par les bénévoles : tout incite le monde associatif et les pouvoirs publics à revisiter les cadres du bénévolat. Le Centre d’analyse stratégique propose quelques pistes.
La quatrième édition du Mois de l’économie sociale et solidaire (ESS) met les 18-25 ans à l’honneur. Durant tout le mois de novembre, les entreprises de l’ESS franciliennes organisent de nombreuses manifestations qui donneront à voir aux jeunes les perspectives d’emploi et d’entrepreneuriat qu’elles proposent.
Alors que la réforme du système de prise en charge de la dépendance est au cœur de l’agenda politique en France, comment les personnes âgées ayant des pertes d’autonomie sont-elles accompagnées dans les autres pays. Vincent Chriqui, Directeur du Centre d’analyse stratégique a récemment rendu public un rapport sur cette question. Extraits.
L’échec est un sujet tabou ! Or c’est une donnée omni-présente dans notre vie professionnelle. La France est un des pays au monde où l’échec est le plus mal vécu. C’est ce que semblent indiquer les résultats d’une enquête réalisée par Opinion Way pour l’Association Progrès du Management (APM) , auprès des chefs d’entreprises sur le thème : »L’échec peut-il être constructif en France ? »
Savez-vous quel est le facteur le plus fréquemment observé dans les situations d’échecs au cours de la vie ? Le manque de connaissances ? Non. L’absence de relations ? Non. L’insuffisance dans l’élaboration d’un plan d’objectif ? Non plus que ça. Le principal facteur d’échec est l’indécision! La crise que nous traversons actuellement n’est pas seulement une crise financière, elle est surtout une crise politique caractérisée par l’indécision.
A l’occasion de la conférence de presse de lancement de la 4e édition du Mois de l’Economie Sociale et Solidaire, en présence de Bruno Solo, Jean-Louis CABRESPINES, Président du Conseil National des Chambres Régionales de l’Economie Sociale (CNCRES) a présenté en avant-première quelques propositions qui seront faites aux candidats à l’élection présidentielle dès novembre prochain.
*Mohamed Talbi est réputé pour être l’un des plus importants intellectuels tunisiens. Historien, philosophe, il est aujourd’hui l’un des penseurs les plus rigoureux et les plus audacieux de la réforme de l’islam. Il est aussi depuis 1995 membre du Conseil national pour les libertés en Tunisie (ONG non reconnue par le gouvernement Ben Ali) .
Pierre Vermeren est Historien, spécialiste des sociétés maghrébines, maître de conférences en histoire du Maghreb contemporain à l’Université de Paris I Panthéon-Sorbonne. Pierre Vermeren a enseigné au Maroc, vécu en Égypte et en Tunisie. Sa thèse de doctorat a porté sur la formation des élites par l’enseignement supérieur au Maroc et en Tunisie au XXe siècle.